Catherine Perrot

Catherine Perrot a passé son enfance en banlieue parisienne. Elle obtient un diplôme de docteur en biochimie puis s’aperçoit qu’elle préfère écrire et transmettre plutôt que de s’enfermer dans un laboratoire. Catherine devient alors journaliste scientifique, et écrit régulièrement des articles pour le journal du CNRS ou pour Science et vie. Quelques temps plus tard, elle saisit l’opportunité de se convertir au journalisme agricole, et se découvre une passion pour ce milieu.

Catherine découvre Nantes pendant ses études et « l’adopte » immédiatement. À l’instar de Julien Gracq, Jules Verne ou encore Barbara, elle trouve dans cette belle ville sa première source d’inspiration. André Breton disait de Nantes : « C’est peut-être avec Paris la seule ville où j’ai l’impression que peut m’arriver quelque chose qui en vaut la peine. », et Catherine partage ce sentiment. Ses premières publications sont donc deux lettres d’amour à Nantes, parues dans le journal Ouest France.

Catherine a également participé à la création d’une petite compagnie de Théâtre, Toikidi, qui met notamment en scène ses propres contes pour enfants. L’un d’eux, « Noël noir pour oiseau blanc » est primé au lors du concours de nouvelles organisé par l’Académie de Bretagne et des Pays de la Loire en 2007. C’est ce prix qui encourage Catherine à s’intéresser à ce genre. Elle a gagné depuis plusieurs prix.

 Son blog, suricath, lui permet de partager quelques uns de ses textes ainsi que l’une de ses grandes passions… les vaches.