Et puis, à partir du troisième paragraphe, j’ai fini par me laisser prendre par cette insolence, cette effronterie amusante (à laquelle il manquerait un poil de tendresse en filigrane ?) et ces digressions sympathiques.
Le passage sur le papi est assez savoureux et de façon générale j’ai aimé que l’auteur fasse sauter cette barrière (pour ne pas dire carrément dynamiter) bien pensante qui vise à « ne pas toucher à nos vieux » (la mamie « cochonnet », excellent !). La réplique de la grand-mère est également des plus exquises et donne une autre image, bien moins lisse que celle qu’on peut se faire de nos ainés. J’ai aussi aimé cette audace, là.
Enfin, je n’oublie pas également le clin d’œil (car je suis sûr que c’en est un !) à Renaud, notre « cheutron sauvage » (et sa chanson « Rita »).
(Encore) un bon texte, vif, percutant et caustique.
Bravo à l’auteur !
S.
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