Commentaires sur : Le lancement de l’intrigue : Exposition et déclencheur https://lanthologiste.fr/exposition-et-declencheur/ Editeur de nouvelles Sun, 17 Nov 2013 17:01:52 +0000 hourly 1 http://wordpress.org/?v=3.3 Par : L'anthologiste https://lanthologiste.fr/exposition-et-declencheur/#comment-3409 L'anthologiste Sun, 03 Nov 2013 09:43:51 +0000 https://lanthologiste.fr/wordpress_ap/?p=524#comment-3409 Bonjour, Les réponses à vos questions dépendent de votre histoire et de la façon dont vous souhaitez la raconter. Ce sont des choix personnels. Le temps de la narration (présent ou passé) va déterminer le rapport entre le lecteur et le récit : Le présent offre plus de proximité puisque le lecteur suit une intrigue qui est en train de se dérouler, le passé propose plus de recul car l’histoire est terminée avant que l’on commence à la raconter. Quand il y a beaucoup d'ellipses et de flashbacks, c’est plus compliqué pour le lecteur de suivre une histoire écrite au présent. Le choix de la personne (je ou il) correspond à la place du narrateur dans l’histoire. Le narrateur est-il un personnage de l’histoire ? Si oui, on écrit à la première personne. Ca devient le récit autobiographique d’un personnage de fiction. Ca peut donner une forme de réalisme, au point que le lecteur se demande s’il s’agit vraiment de fiction, comme par exemple dans les histoires de Sherlock Holmes, racontées par Watson. Petite contrainte : si vous utilisez la première personne, votre narrateur est le personnage principal de l’histoire, vous racontez l’histoire de son point de vue. Si vous commencez à raconter ce que pensent les autres personnages ou ce qu’ils font quand ils ne sont pas avec le narrateur, vous faites apparaître un second narrateur (un narrateur « omniscient »), et ça peut prêter à confusion. Le choix du narrateur-protagoniste peut-être une bonne solution si vous craignez que votre personnage ne soit pas empathique. Si, par exemple, votre héros est un tueur en série, le lecteur peut avoir du mal à le suivre, à s'identifier. Mais si ce personnage est le narrateur, il se confie au lecteur qui devient, d’une certaine façon, son complice. Le tueur peut aussi expliquer pourquoi il agit ainsi, et le lecteur peut mieux le comprendre. C’est l’une des astuces du livre « Ce cher Dexter » de Jeff Lindsay, le livre qui est à la base de la série Dexter. Bonjour,
Les réponses à vos questions dépendent de votre histoire et de la façon dont vous souhaitez la raconter. Ce sont des choix personnels.

Le temps de la narration (présent ou passé) va déterminer le rapport entre le lecteur et le récit : Le présent offre plus de proximité puisque le lecteur suit une intrigue qui est en train de se dérouler, le passé propose plus de recul car l’histoire est terminée avant que l’on commence à la raconter.

Quand il y a beaucoup d’ellipses et de flashbacks, c’est plus compliqué pour le lecteur de suivre une histoire écrite au présent.

Le choix de la personne (je ou il) correspond à la place du narrateur dans l’histoire. Le narrateur est-il un personnage de l’histoire ? Si oui, on écrit à la première personne. Ca devient le récit autobiographique d’un personnage de fiction. Ca peut donner une forme de réalisme, au point que le lecteur se demande s’il s’agit vraiment de fiction, comme par exemple dans les histoires de Sherlock Holmes, racontées par Watson.

Petite contrainte : si vous utilisez la première personne, votre narrateur est le personnage principal de l’histoire, vous racontez l’histoire de son point de vue. Si vous commencez à raconter ce que pensent les autres personnages ou ce qu’ils font quand ils ne sont pas avec le narrateur, vous faites apparaître un second narrateur (un narrateur « omniscient »), et ça peut prêter à confusion.

Le choix du narrateur-protagoniste peut-être une bonne solution si vous craignez que votre personnage ne soit pas empathique. Si, par exemple, votre héros est un tueur en série, le lecteur peut avoir du mal à le suivre, à s’identifier. Mais si ce personnage est le narrateur, il se confie au lecteur qui devient, d’une certaine façon, son complice. Le tueur peut aussi expliquer pourquoi il agit ainsi, et le lecteur peut mieux le comprendre. C’est l’une des astuces du livre « Ce cher Dexter » de Jeff Lindsay, le livre qui est à la base de la série Dexter.

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Par : LUCAT https://lanthologiste.fr/exposition-et-declencheur/#comment-3374 LUCAT Fri, 01 Nov 2013 16:54:25 +0000 https://lanthologiste.fr/wordpress_ap/?p=524#comment-3374 Bonjour, je me tourne vers vous car je pense que vous êtes bien placé pour me renseigner. En effet je suis sur un projet d'écriture d'une nouvelle, et j'aimerais savoir à quel temps doivent être conjugué les verbes, et doit-on utiliser la 3e personne parce que j'ai utilisé la 1ere mais je pense que là ça devient une autobiographie. merci de me renseigner. cordialement. Bonjour, je me tourne vers vous car je pense que vous êtes bien placé pour me renseigner. En effet je suis sur un projet d’écriture d’une nouvelle, et j’aimerais savoir à quel temps doivent être conjugué les verbes, et doit-on utiliser la 3e personne parce que j’ai utilisé la 1ere mais je pense que là ça devient une autobiographie. merci de me renseigner.
cordialement.

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